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Commission des Forêts d’Afrique Centrale
Une dimension régionale pour la conservation, la gestion durable et concertée des écosystèmes forestiers d'Afrique Centrale

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Le Rwanda vient de déposer auprès de l’Organisation des Nations unies (ONU) un ambitieux plan d’action climatique sur 10 ans. Ce projet qui nécessitera un investissement global de 11 milliards de dollars a pour but la réduction des émissions de CO2 du pays et l’adaptation au changement climatique.

Le Rwanda vient de joindre le geste à la parole en déposant sa deuxième « contribution nationale » à l’Accord de Paris auprès de la Convention cadre des Nations unies sur le climat.

Si rien n’est fait, la forêt du bassin du Congo pourrait bientôt émettre beaucoup plus de CO2 qu’elle n’en capte. Selon les résultats d’une étude scientifique menée dans les forêts tropicales africaine et américaine, la mortalité excessive des arbres, provoquée par la sècheresse et l’action de l’homme, libère une quantité considérable de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Une quantité de gaz qui sera bientôt supérieure à celle absorbée par les forêts, mettant ainsi en péril, les accords de Paris sur le climat.

Berlin, 5 mai 2020 – Il s’est tenue une conférence virtuelle des partenaires engagés dans la mise en œuvre de la Déclaration de N’Djamena (janvier 2019) et du plan d’action de Douala (décembre 2019) sur la sécurité, la lutte anti-braconnage, l’encadrement de la transhumance et la circulation des groupes armés entre le Sahel et l’Afrique équatoriale. La réunion était présidée par l’Honorable Dr Christian Ruck, Facilitateur de la République fédérale d’Allemagne, et modérée par le Dr Dany Pokem, Coordonnateur technique des communications, membres et réunions du PFBC.

Le Gabon promet de contribuer à la préservation de 30 % des Terres et 30 % des Océans à l’horizon 2030. Cet objectif a été fixé le 22 avril 2020 au cours d’une conférence internationale à laquelle a pris part le ministre gabonais de l’Environnement et du Développement durable.

La réunion qui s’est déroulée par visioconférence, consistait à définir un cadre mondial post-2020 sur la biodiversité à la hauteur des enjeux actuels de la planète.