Au niveau mondial, à la suite des initiatives de conservation de la biodiversité tel que le sommet de la terre, les Aires Protégées Transfrontalières (APT) ont été reconnues comme un moyen pour inciter l’interaction et la coopération entre les Etats pour l’atteinte des Objectifs du Développement Durable (CDB, 1992).
Bangui, République Centrafricaine, 19- 23 octobre 2020. Il s’est tenu dans la salle de Conférence du Ministères de Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, l’atelier de renforcement des capacités des experts de la Coordination Nationale COMIFAC (CNC). Sous la présidence de Cosmas Ekane Nzuobontane Directeur Administratif de de COMIFAC et représentant du Secrétaire exécutif, l’objectif principal de la rencontre était d’appuyer techniquement le groupe national d’appui aux CNC, dans le processus de collecte et d’encodage des données des indicateurs de la COMIFAC en vue d’accroitre le taux d’encodage et d’améliorer la qualité des données collectées.
Yaoundé, Cameroun, 22 octobre 2020- Le Secrétaire Exécutif de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC), M. Raymond Ndomba Ngoye a reçu en audience l’honorable Dr. Christian RUCK, facilitateur de la République Fédérale d’Allemagne, pour le Partenariat des Forêts du Bassin du Congo (PFBC).
Yaoundé, Cameroun, 20 octobre 2020- La salle de conférences du Secrétariat exécutif de la COMIFAC a abrité, la cérémonie de signature de deux accords de contrats de financement pour les Projets BSB Yamoussa et Programme Promotion de l’exploitation certifiée des Forêts entre la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) et la République Fédérale d’Allemagne.
Les plénières, les sessions et les présentations seront disponibles en trois langues : anglais, espagnol et français.
Depuis 2007, l’Observatoire des forêts d’Afrique centrale (OFAC) agit pour créer des réseaux d’information, mettre en place des outils d’analyse et de communication, et produire des publications régionales pour fournir des données fiables, pertinentes et accessibles sur l’état des forêts d’Afrique centrale.
Le Sommet était centré sur le thème « Agir d’urgence sur la biodiversité pour le développement durable », afin de souligner le besoin urgent de prendre des mesures aux niveaux les plus élevés pour soutenir le Cadre mondial de la biodiversité post-2020 sous l’égide de la Convention sur la diversité biologique, qui est censé mettre la communauté internationale en position d’atteindre la Vision 2050 pour la biodiversité, à savoir celle de « Vivre en harmonie avec la nature ».
Le Gabon et la République du Congo et les représentants de 74 autres pays de toutes les régions ont approuvé la promesse “Leaders Pledge for Nature“. Ce faisant, ces dirigeants envoient un signal uni pour renforcer l’ambition mondiale et encourager d’autres pays à faire correspondre leur ambition collective pour la nature, le climat et les hommes à l’ampleur de la crise actuelle. L’appel est lancé aux autres pays d’Afrique centrale de suivre leurs exemples…
Dans le bassin du Congo, s’étend la deuxième plus grande forêt tropicale humide au monde après l’Amazonie. Son importance en tant que puits de carbone est reconnue à l’échelle internationale, du point de vue de la lutte contre les changements climatiques et de la biodiversité.
La Convention sur la diversité biologique, entrée en vigueur en 1993, a instauré le principe de souveraineté des Etats sur les ressources génétiques en changeant radicalement la notion d’exploitation du patrimoine mondial. Depuis lors, nombreux étaient des pays en développement qui ont eu l’idée d’utiliser leurs propres ressources génétiques en tant que ressources stratégiques de la même manière que d’autres ressources naturelles telles que le pétrole et le gaz naturel.