Les prévisions sont alarmantes et l’humanité court droit à la catastrophe mondiale, interpelle le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres. En dépit des résultats mitigés de la COP27, une petite lueur d’espoir existe : atteindre les objectifs de neutralité carbone en 2050.
Une délégation de 16 membres representant le secrétariat exécutif de la COMIFAC, la coopération technique allemande (GIZ et KFW), WCS, a effectué une visite dans du 23 au 30 janvier 2023 COMIFAC dans le Complexe Transfrontalier Binational Sena Oura Bouaba Ndjida (BSB Yamoussa).
Ndjamena, République du Tchad, 30 janvier 2023- En mission de travail dans le complexe transfrontalier Binational Sena Oura Bouaba Ndjidda, le Secrétariat Exécutif de la COMIFAC, Hervé Maidou accompagné d’une forte délégation a été reçu ce jour par le ministre de l’Environnement, de la Pêche et du Développement Durable, Mahamat Abdelkerim Hanno.
Cet événement parallèle dans le Pavillon COMIFAC organisé par la COMIFAC-PFBC et leurs partenaires a permis de débattre sur les points clés entre autres :La rencontre entre le Sahel et le nord de l’Afrique équatoriale – Le rôle des aires protégées, de la gestion de la faune et du développement dans le contexte de la transhumance – l’état de mise en œuvre de la Déclaration de N’Djamena qui intègre la transhumance, la conservation et la gestion des ressources naturelles et les questions de sécurité et de développement par une approche intersectorielle et transfrontalière innovante.
Cet événement parallèle entre les partenaires du PFBC avait pour but de trouver comment accélérer la protection et l’utilisation durable des forêts d’Afrique centrale en échange d’une part adéquate des financements internationaux pour le climat et la biodiversité.
Le Secrétariat Exécutif de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale vous souhaite une bonne et heureuse année…
Face à la croissance des structures et entreprises sollicitant les marchés publics, il est indispensable de maîtriser…
Montréal, Canada, 17 decembre 2022- La COP 15, Conférence des parties à la convention sur la diversité biologique des Nations Unies qui se tient du 7 au 19 décembre à Montréal au Québec est axée sur la protection de la nature et les moyens de mettre un terme à la perte de biodiversité partout dans le monde. Tout comme l’Afrique, l’une des régions les plus riches en biodiversité, sa voix a été portée par la République du Congo. Rosalie Matondo, ministre de l’économie forestière, désignée par ses pairs a fait valoir l’ambition du Continent celui d’obtenir à tout prix un engagement mondial pour infléchir cette courbe de la perte de la biodiversité qui représente une menace sérieuse pour la survie du berceau de l’humanité.
Malgré les avancées du pacte Kunming-Montréal, adopté le 19 décembre à la COP15 sur la biodiversité, certains pays africains sont déçus, à l’image de la RDC, qui appelaient à la création d’un fonds spécifique pour la biodiversité et réclamaient une contribution des pays riches beaucoup plus importante que les 30 milliards de dollars par an promis.
